Lorsque les entreprises et les gouvernements ont fini d’installer leurs réseaux (réseaux commutés, WAN, communications unifiées, etc.) et leurs puissants serveurs, elles sont tout de suite conscientes qu’elles doivent employer un spécialiste de la sécurité pour sécuriser non seulement leurs réseaux, mais surtout leurs informations et celles de leurs clients : maitriser les nouvelles technologies, les nouvelles formes de criminalité, les techniques utilisées par les pirates informatiques, le contre-piratage, les enquêtes ou investigations numériques…
Ces compétences sont aujourd’hui et demeureront pour le futur, incontournables aux banques, institutions financières, gouvernements, à la police, et à toute entreprise qui a des données à protéger.
Les Certifications incluses dans le programme sont accréditées et recommandées par des organes de haut-rang
comme le Ministère Américain de la Défense (DoD).
Tous les pays africains notamment la Côte d’Ivoire qui a créé un ministère de l’économie numérique,
ont fortement amorcé leur lutte contre la cybercriminalité. La Côte d’Ivoire par exemple, connait de grandes innovations, comme son Centre de Réponse aux Urgences Technologiques (CERT),
son Laboratoire de Criminalistique Numérique (LCN), sa Direction Informatique des Traces Technologiques (DITT),
sa Police spécialisée
appelée PLCC (Plateforme de Lutte Contre la Cybercriminalité),
et même l’Association Internationale de Recherche en Sécurité Informatique,
basée en Inde, est représentée en Côte d’Ivoire par Mr. N’Cho Yao.
Cela explique aussi pourquoi le Ministre Ivoirien de l’Economie Numérique, M. Bruno Koné, a expliqué lors d’une conférence de presse, qu’il collabore avec Mr N’Cho Yao, tout en lançant un appel à tous les jeunes en Côte d’Ivoire, à sortir de l’obscurité, se former et travailler positivement.